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Résumé
:
Roman d'aventure, partiellement autobiographique,
la Voie royale est aussi une réflexion passionnée sur la mort et
sur les vains défis que l'homme lui oppose.
Quatrième de couverture
Au début des années vingt, le jeune archéologue Claude Vannec, en quête d'une rapide fortune, s'est embarqué pour l'Indochine dans l'espoir de découvrir et de revendre
quelques-uns des inestimables bas-reliefs ornant les temples de l'antique route royale khmère, aujourd'hui submergée par la jungle. Lorsqu'il rencontre Perken, il est fasciné par cet
aventurier de légende au masque de proconsul romain, qui professe un total mépris des valeurs établies et peut-être offre à Claude la préfiguration de son avenir. Ensemble, ils
décident d'affronter les périls d'une expédition qui défie toutes les lois. Et lorsque la forêt indochinoise se sera refermée sur eux, dans une lumière glauque d'abîme sous-marin, ils
partageront la terreur des bêtes sans nom qui peuplent cet univers antédiluvien et dont la tête émerge à peine d'un sol spongieux et décomposé. Mais surtout, une fois parvenus
chargés de leur butin en territoire insoumis, ils découvriront, en retrouvant l'un des leurs prisonnier des tribus Moïs, l'horreur de l'inhumain, cette "épouvante de l'homme abandonné
parmi des fous qui vont bouger". Roman d'aventure, partiellement autobiographique, La Voie royale est aussi une réflexion passionnée sur la mort et sur les vains défis que l'homme
lui oppose.
Critique :
Ouvrage de référence
à lire avant un voyage en "Indochine".
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